Les chènevières de la Morte

Un peu d’histoire : La rue Jean Moulin où vous vous trouvez dessert le lieu-dit « Les chènevières de la Morte », où l’on cultivait le chanvre, une plante de la famille des canabinassées. Son nom de chènevières de la « Morte » viendrait-il d’une personne décédée sur place ? L’histoire ne le précise pas mais on peut le supposer du fait que les noms de rues de la ville de Dombasle répondent très souvent à un fait ou à une raison logique.

Le chanvre peut être industriel, textile ou agricole et ses utilisations sont nombreuses : tissus, la construction, les cosmétiques, pour l’alimentation, comme biocarburants, pour des usages médicamenteux ou pour un usage récréatif. 

Allez, assez trainé dans les champs, il nous manque des ingrédients ! Et une fois de plus, un précieux indice nous attend de la part de notre bienfaiteur qui à l’air d’être d’humeur poétique :

« Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir; 
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige; 
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. »

Ces vers me parlent… de qui sont-ils déjà ?

“La main à plume vaut la main à charrue. Quel siècle à mains !”

Deux citations venant de deux hommes célèbres… Peut-être qu’à la croisée de ces deux illustres personnages nous trouverons ce que nous recherchons.

Besoin d’un indice supplémentaire ? Tu peux décrypter le message ci-dessous en décalant chaque lettre sur le modèle A=B, B=C, etc…
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